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ZOLA L ASSOMMOIR UNE RENCONTREÀ LAssommoir, six jeunes gens boivent et racontent la grandeur puis la décadence de Gervaise Macquart, honnête femme qui vit dans le quartier de la Goutte-dOr à Paris. Mère de deux enfants, abandonnée par son mari, Gervaise travaille dur pour réaliser son rêve : ouvrir sa propre blanchisserie. Malheureusement, après un accident, son nouvel époux, Coupeau, sombre dans la paresse et dans lalcool. Gervaise ferme les yeux sur son comportement et glisse doucement vers le laisser-aller. Elle travaille de moins en moins, néglige son commerce, accumule les dettes et revoit Lantier, le père de ses enfants. Gagnée, elle aussi, par lalcoolisme et complètement démunie, Gervaise finit par se prostituer pour survivre. Elle sombre dans la déchéance et meurt dans lindifférence la plus totale. Présentation Pas de nombre dheures minimum ou de forfait. Pas dabonnement mensuel.-Tiens! la mariée! cria lun des voyous, en montrant madame Gaudron. Mais elle disait toujours non de la tête, sans se laisser tenter, caressée pourtant par cette voix câline. Elle écoutait, les regards dehors, paraissant sintéresser de nouveau à la foule croissante. Autant pour Cézanne que pour Zola, le souvenir de ces jours était une débauche de bonheur. Ce fut toujours un aide-mémoire rappelant que la vie pouvait être comme cela, que la vie devait être comme cela. Zola essaya de recréer cela dans sa maison sur le bord dune rivière, à Medan. Cézanne essaya de recréer cela dans ses peintures de baigneurs en ajoutant de voluptueuses femmes nues, et dont la pure et simple maladresse est autant psychologique que picturale. Ils lisaient avec voracité autant quils nageaient et pique-niquaient, principalement Victor Hugo et Musset. Ils jouaient de la musique Zola de la clarinette, Cézanne du cornet, et avec ces instruments jouaient la sérénade à une fille jusquà ce que les parents versent sur eux des bassines deau depuis la fenêtre de létage. Ils consacraient beaucoup de temps à penser aux filles. Ils planifiaient aussi leurs carrières et leurs ambitions étaient napoléoniennes. Zola parlait toujours de conquérir Paris. Cézanne sidérerait Paris avec une pomme. Mais dabord ils devaient y aller. Pour Cézanne et Zola il fallait se tirer dAix. Tout se passait à Paris. Mais la première chose dont il fallait se sortir était lécole. Cétait des garçons brillants. Lun tendait à gagner les prix décriture, lautre les prix de dessin. Cest vrai, Cézanne excellait en écriture, Zola en dessin. Tous deux cependant avaient des problèmes pour avoir le Bac. Des incidents. Les Lorilleux : Une mariée qui na pas de famille. La sœur ; Madame Quenu-Gradelle à voir. Elle la secouait des cinq ou six fois dans la matinée, en la menaçant de lui flanquer sur le ventre une potée deau. Gervaise cherche et trouve Coupeau mais il la rabroue. Zola souligne aussi la misogynie et le mépris réservé aux femmes tandis que les hommes gardent le beau rôle quelle que soit leur amoralité quincarne Lantier : Mon Dieu! lui, faisant son métier de coq ; un homme est un homme, on ne peut pas lui demander de résister aux femmes qui se jettent à son cou. Mais elle, elle navait pas dexcuse ; elle déshonorait la rue de la Goutte-dOr. Et tout lhonneur de la séparation revenait à ce finaud de chapelier, que les dames gobaient toujours. On donnait des détails, il avait dû calotter la blanchisseuse pour la faire tenir tranquille, tant elle était acharnée après lui. Le même lynchage sera réservé à Nana qui se trouve accusée dêtre poursuivie par un homme dâge mûr lubrique dans les rues et de déshonorer la famille. A noter que Zola commentait à son sujet dans sa lettre de défense : Quant à Lalie, elle complète Nana. Les filles, dans les mauvais ménages ouvriers, crèvent sous les coups ou tournent mal. La niche et la pâtée : la terreur de la faim club de rencontre carpentras un inconnu une rencontre un ami un amour une prise de tête un ennemie un inconnu Mais comme la laveuse se lamentait, craignant de ne pouvoir mettre couler le jour même, elle voulut bien lui donner le linge sale tout de suite. Elles allèrent chercher les paquets dans la pièce de gauche où couchait Étienne, et revinrent avec des brassées énormes, quelles empilèrent sur le carreau, au fond de la boutique. Le triage dura une grosse demi-heure. Gervaise faisait des tas autour delle, jetait ensemble les chemises dhomme, les chemises de femme, les mouchoirs, les chaussettes, les torchons. Quand une pièce dun nouveau client lui passait entre les mains, elle la marquait dune croix au fil rouge pour la reconnaître. Dans lair chaud, une puanteur fade montait de tout ce linge sale remué P2. Emile ma dit alors quil était content de partir de là le Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire. Ce pauvre petit chat valsait, fallait voir! les talons en lair comme les gamines qui jouent à la corde et qui crient : Vinaigre! Elle ne pouvait plus souffler, rebondissant delle-même ainsi quune balle élastique, se laissant taper, aveuglée, lasse davoir cherché un trou. Alors, sans sarrêter, les yeux emplis de lor des cadres, ils suivirent lenfilade des petits salons, regardant passer les images, trop nombreuses pour être bien vues. Il aurait fallu une heure devant chacune, si lon avait voulu comprendre. Que de tableaux, sacredié! ça ne finissait pas. Il devait y en avoir pour de largent. Puis, au bout, M. Madinier les arrêta brusquement devant le Radeau de la Méduse ; Géricault Le Radeau de la Méduse 1818-19 Musée du Louvre -Tu sais, ne membobine pas.. Je ne veux pas quon mattache.. Après la restauration de 1829 et avant celle de 2016. Quand Bijard eut rencontré une chaise et se fut étalé sur le carreau, où on le laissa ronfler, le père Bru aida Gervaise à relever madame Bijard. Maintenant, celle-ci pleurait à gros sanglots ; et Lalie, qui sétait approchée, la regardait pleurer, habituée à ces choses, résignée déjà. La blanchisseuse, en redescendant, au milieu de la maison calmée, voyait toujours devant elle ce regard denfant de quatre ans, grave et courageux comme un regard de femme. rencontres internationales des ppp Gervaise montrait une grande surprise. Elle était très grave. Il considère la société comme un laboratoire et observe ses personnages comme des sujets dexpérimentation. Par cette observation précise, il veut mettre en relief les déterminismes sociaux qui mènent les ouvriers parisiens à la déchéance. Gervaise Macquart est la fille dAntoine Macquart et de Joséphine Gavaudan. Elle porte la marque de son hérédité, dun père alcoolique et dune mère travailleuse mais névrosée. Son corps lui-même porte les stigmates de cet atavisme puisque, conçue un soir divresse et de violence, Gervaise boîte. Malgré une enfance difficile, elle apparaît comme une femme volontaire et travailleuse. On la rencontre au début du roman au côté de son amant Auguste Lantier, vivant dans le quartier de la Goutte-dOr à Paris avec leurs deux fils, Étienne et Claude. Lantier est froid, paresseux et infidèle. Cest suite à sa dernière tromperie, avec Adèle, quune bagarre éclate au lavoir entre Virginie, la sœur de cette dernière, et Gervaise. Alors que Lantier prend la fuite avec sa nouvelle maîtresse, Gervaise se retrouve seule avec ses deux enfants. Après avoir repoussé les avances de Coupeau, un ouvrier zingueur, la jeune blanchisseuse finit par céder. Suite à leur mariage et à la naissance de leur fille Nana, le jeune couple se projette dans lavenir. Grâce à leurs économies, Gervaise rêve dacheter une boutique pour sinstaller à son compte. La chute de Coupeau viendra mettre en péril ses projets.
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